Browsing by Author "Mehenni, Tassadit"
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Item Etude d'une alimentation en eau potable du chef lieu d'ouacif(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Khider, Nacera; Mehenni, Tassadit; Guici, RezikaNous avons, à travers cette étude, essayé d’apporter une contribution au projet du renforcement de l’adduction en eau potable du chef lieu de la commune d’Ouacif. Ce travail a permis de dégager les résultats suivants : L’estimation des besoins en eau de consommation indique que le débit de 25.56 l/s sera nécessaire pour répondre aux besoins du chef lieu d’Ouacif à long terme (2043). Ce débit comparé à l’apport de l’ancienne chaîne d’adduction à partir des trois forages (F2, ET3 et ET4) dégage un déficit de « 27 l/s ». Ce manque d’eau sera comblé par un renforcement à partir du forage projeté (ET1 bis) implanté sur la rive droite de l’oued « Assif Larbaa ». L’eau des forages qui alimentent le chef-lieu Ouacifs est de bonne qualité physicochimique et bactériologique. La simulation hydraulique nous a permis de mettre dans un temps moyennement cours plusieurs scénarios et schémas hydrauliques. Notre choix est fait sur la base des résultats discutés dans le chapitre de simulation notamment en ce qui concerne le choix des matériaux et infrastructures, tout en prenant en considération l’aspect du cycle de vie de ces derniers. D’après les résultats trouvés la pression de l’eau au niveau des « noeuds demande » ne dépasse pas les « 05 barres ». Cependant, la vitesse de l’écoulement au niveau des conduites varie, dans la plupart des cas, entre « 0.5 et 1.5 m/s ». Par ailleurs, nous avons jugé nécessaire de mettre une vanne de régulation de débit d’une grandeur de « 8.0 l /s », afin d’équilibrer le système alimentant le réservoir de la gendarmerie sans passer par un nouveau réseau. Le choix du type des conduites s’est porté sur le PEHD qui présente beaucoup d’avantages par rapport aux autres matériaux (non corrosif, flexible, disponible sur le marché, longévité…etc.). L’étude du rayon d’action d’un forage de la zone étudiée nous à révélé qu’il est indispensable d’espacer les forages d’au moins 426 m pour qu’il n’y’ait pas de chevauchement des lignes piézométriques lors du pompage. L’infrastructure de stockage de l’eau entraîne la construction de trois réservoirs d’une capacité totale de « 400 m3 » dont l’objectif est d’assurer l’alimentation gravitaire des réservoirs suivants : réservoir de tête, réservoir Mehadi et réservoir Gendarmerie. Pour le choix des pompes, nous avons opté pour : Concernant notre projet, nous projetons trois pompes immergées identiques dans chaque forage de type SP30 avec trois autres, de secours, pour une hauteur total Hmt=152.6 m et un débit de Q= 36 m³/h pour chaque pompe. Quant à la station de reprise, nous avons choisie une pompe multicellulaire de type 50NM à 5 étage refoule à une hauteur total Hmt= 128.29 m et un débit de Q = 48.6 m³/h ; avec une de secours. Néanmoins dans tous les cas, la réduction du temps de pompage constituent la solutions la plus rentable et économique. Pour que la conduite reliant la station de pompage et le réservoir de EL HAMMAM soit protégée sur toute sa longueur ; que se soit dans le sens (réservoir, conduite) d’une surpression et dans le sens contraire d’une dépression, il est nécessaire de l’équiper d’un réservoir (eau + air comprimé) d’un volume total 0,607m3 avec un volume d’air en fonctionnement normal U0 =0,526 m3. En fin, nous espérons que ce modeste travail pourra apporter un plus dans la réalisation du projet sur le terrain.