Département de Génie Mécanique
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Item Élaboration et Oxydation de l’alliage (Ni-11% Al) en masse(Université Mouloud Mammeri, 2011-03-03) Bareche, SamirL’étude des alliages réfractaires contenant comme éléments majeurs, du fer, du cobalt, du nickel, du chrome et de l’aluminium, ont fait l’objet de nombreuses études à cause de leurs propriétés mécaniques appréciables comme par exemple : bonne tenue à chaud, une résistance suffisante à l’action chimique et plus précisément à la corrosion à température élevée. Ils ont un large domaine d’applications, on les trouve dans l’industrie, les turbines à gaz, les équipements de transport et de stockage, la construction aéronautique et spatiale, la construction automobile et ferroviaires, etc … Il ressort de la bibliographie que beaucoup de travaux ont été réalisés sur les alliages à base nickel à l’état massif, mais à notre connaissance, peu sur les frittés. Pour cela il nous a paru utile d’élaborer tout d’abord, par frittage classique l’alliage (Ni-11%Al) en masse. Ensuite, étudier sa réactivité vis-à-vis de l’air à haute température. Notre choix s’est porté sur cet alliage de teneur 11% en aluminium pour obtenir des alliages réfractaires d’une part, et d’autre part, susceptible de former une couche d’oxyde d’alumine alpha (Al2O3) couche très protectrice et plus performante que les oxydes : NiO et Cr2O3. Cette étude se divise en deux grandes parties : La première partie : est consacrée à élaborer les frittés de l’alliage (Ni-11%Al) destinés aux tests d’oxydation par frittage naturel, tout en étudiant les mécanismes de densification par dilatométrie à température variable qui sera épaulée par des mesures d’analyse thermique différentielle la deuxième partie : est consacrée à l’oxydation de ces mêmes frittés à différentes températures (T = 1200 – 1250 – 1300 – 1350 et 1400°C) en régime isotherme pendant 24 heures à la pression atmosphérique sous air dynamique, tout en examinant en parallèle l’influence de la microstructure donc de la porosité. Car l’état de surface joue un rôle primordial sur la cinétique de croissance de la couche d’oxyde.Item Etude du composite céramique-métal (Sic/ alliage d'aluminium obtenu par infiltration(Université Mouloud Mammeri, 2013) Sidhoum, ZehraCe travail avait comme objectif l’étude d’un composite à matrice d’aluminium renforcée par des particules du carbure de silicium élaboré par la technique de l’infiltration spontanée à la température de 900°C. Á la fin de l’opération d’élaboration, il a été constaté un mauvais mouillage du SiC par l’aluminium en raison d’une couche d’alumine qui s’interpose à l’interface solide/liquide. La bibliographie rapporte que beaucoup de chercheurs s’accordent à dire que l’alumine qui se forme inévitablement aux interfaces empêche toute interdiffusion solide/liquide et limite le mouillage. La technique de frittage en phase liquide a été appliquée pour améliorer le contact Al/SiC par compression à froid et assurer un bon mouillage des particules du carbure. L’analyse par diffraction des rayons X n’a révélé aucune formation de nouvelles phases. Les observations au MEB ont mis en évidence une adhérence médiocre des particules solides avec la matrice. L’immersion des particules directement dans le bain du métal en fusion soumis à un brassage n’améliore point la mouillabilité de la céramique SiC par l’aluminium. La diffraction des rayons X ne révèle aucun polytype correspondant au carbure de silicium SiC. Á travers ces résultats il semble que le type de SiC utilisé n’est pas mouillé par l’aluminium en fusion à la température de 900°C. Des microanalyses EDS-X ont révélé la présence d’une certaine quantité d’oxygène aux interfaces ce qui nous a amené à penser à l’existence d’une fine couche d’alumine qui se ségrége à l’interface et empêche ainsi le contact direct entre les particules du carbure de silicium et la phase liquide. Pour éliminer la couche d’alumine et améliorer ainsi le mouillage, trois méthodes sont appliquées, à savoir : le traitement à 1200°C, l’application d’une pression ainsi que le traitement des particules du carbure de silicium par de