APPORT DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN CHIRURGIE BUCCALE
dc.contributor.author | AOUCHAR, SARAH | |
dc.contributor.author | AZZI, RIMA | |
dc.contributor.author | BACHATENE, KHEDOUDJA | |
dc.contributor.author | TALAH, LYSA | |
dc.date.accessioned | 2021-03-21T14:09:32Z | |
dc.date.available | 2021-03-21T14:09:32Z | |
dc.date.issued | 2019-06 | |
dc.description.abstract | En chirurgie buccale, les interventions sont très fréquemment associées à un processus inflammatoire post opératoire, celui-ci comprend plusieurs phases successives qui aboutissent à la cicatrisation. Bien qu'il soit bénéfique, il est aussi responsable des signes cliniques suivants : œdème, douleur, trismus, qui peuvent être contrôlés et réduits par l’utilisation des anti-inflammatoires, ces derniers permettent ainsi de limiter et d’améliorer les suites postopératoires mais pas de les supprimer entièrement, car elles sont soumises à une grande variabilité inter et même intra-individuelle et leur importance ne peut être prédite avec certitude. Au vu de la relative innocuité,de la sécurité d’emploi et de l’efficacité démontrée des anti-inflammatoires aux posologies employées et à court terme ; Leur utilisation en chirurgie buccale est parfaitement indiquée et recommandée. Les différents produits évoqués dans ce travail ont montré des degrés d'efficacité divers, nous avons pu constater que les anti-inflammatoires enzymatiques ont une activité très modeste mais sont d'un recours utile en association à d’autres thérapeutiques. Les AINS quant à eux sont essentiellement prescrits dans notre discipline pour leur action antalgique. Les corticoïdes sont utilisés pour la prévention et la réduction de l’inflammation (œdème, trismus). Leur supériorité sur les AINS dans ce domaine a été clairement démontrée. En revanche, leur prescription ne doit pas être systématique. Elle doit être réservée pour les interventions chirurgicales traumatiques. Malheureusement, l’anti-inflammatoire idéal ne semble pas encore exister puisque aucune classe thérapeutique seule ne peut gérer au mieux l’œdème, la douleur et le trismus et ne pas occasionner à la fois d’effets secondaires. Il est aussi à noter le manque d’études évaluant les effets dose-dépendants des antiinflammatoires ainsi que l’absence de consensus sur le choix de la molécule, de la dose et de la voie d’administration à utiliser. L'avenir devrait voir se développer d'autres études qui devraient idéalement être comparables et basées sur une méthode fiable de mesure des suites post opératoires, ce qui permettrait d’établir une utilisation optimale des anti-inflammatoires et de donner une vision d'ensemble pratique et représentative du panel thérapeutique mis à notre disposition. Ceci nous servirait de guide clinique pour déterminer le type, la voie d'administration et la dose minimale efficace de l’anti inflammatoire à employer | en |
dc.identifier.other | Mre/CD115 | |
dc.identifier.uri | https://dspace.ummto.dz/handle/ummto/13076 | |
dc.language.iso | fr | en |
dc.publisher | Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU | en |
dc.subject | Chirurgie buccale | en |
dc.subject | Anti-inflammatoire | en |
dc.subject | Trismus | en |
dc.subject | Oedème | en |
dc.title | APPORT DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN CHIRURGIE BUCCALE | en |
dc.type | Other | en |